Et à l’autre bout du monde ? II

La relation entre les femmes et ceux qui les soignent est-elle différente à l’autre bout du monde ?

🌍 On continue notre tour du globe, avec Clarisse et Priscille !


Clarisse observe un paradoxe au Maroc et dans certains pays d’Afrique :

« Culturellement et traditionnellement, le rapport au corps, à la douleur, au risque et même à la mort, est beaucoup plus simplifié voire banalisé. Mais l’occidentalisation de ces pays et les progrès techniques créent une attente de confort médical parfois excessive, comme dans les demandes de césarienne qui explosent. Choisir d’accoucher sans péridurale est donc une aberration à leurs yeux ! On se sent loin du retour au naturel et à l’accompagnement physiologique que l’on connaît en France ! »


Priscille témoigne depuis l’île Maurice :

« Ici, l’approche médicale en général et gynécologique en particulier me semble plus simple et plus humaine. Plus simple car une échographie, par exemple, dure 10 minutes, et on repart avec une seule photo alors qu’en France cela prend une heure et l’on ressort avec un dossier énorme, comme si le médecin se couvrait par prudence, au cas où… Plus humaine car les médecins sont assez disponibles, les rendez-vous s’obtiennent facilement, en passant par une secrétaire qui vous connaît et non par un Doctolib impersonnel… »




– « Femme nue debout vue de dos », dessin d’Auguste Rodin.

Si l’artiste est principalement connu pour ses sculptures, il n’en était pas moins un immense dessinateur. Ses esquisses au crayon se multiplient à partir de 1890, et ont très souvent pour sujet le corps féminin, auquel il vouera toute sa vie une véritable fascination.

Souvent érotiques, rarement exposés, Rodin dira pourtant de ces dessins à la fin de sa vie qu’ils étaient « la clef de son œuvre ».

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